31 décembre 2007, par Thierry Leterre
Si le bonheur ôte le besoin de preuve de Dieu, le malheur la rendrait intolérable.
ux instants de bonheur ou même lorsque les difficultés d’un chemin de vie sont à notre mesure, quand il nous revient de faire le travail et de nous atteler à rendre ce monde plus humain, Dieu nous a suffisamment aidés pour rester en son repos : c’est le septième jour, où se dévoile la bonté de la création. Les choses sont en ordre, et lorsqu’elles n’y sont pas, nos forces suffisent à les remettre à leur juste place. Les (...)