De Libération où je collaborais auparavant à La Croix dont je ne deviendrais chroniqueur que quelques années plus tard, la transition était assurée en quelque sorte depuis le début puisque en 2000, je répondais à mon ami Sébastien Maillard, jeune et brillant journaliste de La Croix à propos de Yahoo qui avait eu des soucis judiciaires en vendant sur le territoire français des objets nazis, et qui n’avaient pas pris garde à des liens continuant par la suite à pointer vers des sites douteux. La thématique des Nouvelles Technologies, qui m’avait conduit à collaborer à Libération m’amenait donc en contact avec La Croix
C’est donc par un interview que commence mon histoire au journal La Croix, en 1998, où je rappelais l’importance de l’écrit sur les réseaux multi-média - on trouvera le texte de ma réponse sur ce site. De Libération où je collaborais auparavant à La Croix dont je ne deviendrais chroniqueur que quelques années plus tard, la transition était assurée en quelque sorte depuis le début. En 2000, je répondais à mon ami Sébastien Maillard, jeune et brillant journaliste que j’avais rencontré en Afrique du Sud à propos de Yahoo qui avait eu des soucis judiciaires en vendant sur le territoire français des objets nazis, et qui n’avaient pas pris garde à des liens continuant par la suite à pointer vers des sites douteux.
En 2003, je répondais, toujours à Sébastien à propos des projets de réforme, désormais bien dépassés, proposant une Europe « à deux têtes ». Ma carrière d’interviewé s’interrompait ici, et je ne me spécialisais plus simplement sur les questions relevant des nouvelles technologies. Dans les mois qui suivirent, je fus sollicité par François Ernenwein toujours par l’intermédiaire de Sébastien pour participer au forum. Et c’est ainsi qu’un an presque jour pour jour après mon intervention sur l’Europe j’entamais mes chroniques par un article sur Le débat national pour l’Ecole.